Euh, pour moi la fourche, elle bascule plutôt vers l'arrière !
Un vilain schéma gribouillé sur un coin de table est parfois plus efficace qu'un discours, alors voilà comment je crois comprendre la chose :
Lorsque une fourche plonge, on sait que par raccourcissement de sa longueur l qui devient l' , on a une diminution du déport x qui devient x' , et par conséquent aussi un raccourcissement de l'empattement .
SI l'on se place au point de rotation haut qu'est la tête de fourche ( et seulement si l'on voit les choses depuis là , à la manière dont on verrait un système composé d'une planète et de son satellite tous deux en rotation sur eux-mêmes , le centre de rotation choisi étant la planète . Si je me place au niveau de l'axe de roue exclusivement, là je ne comprends strictement plus rien !!! ) , on a effectivement durant une fraction de seconde une vitesse totale VI , qui est la somme de la vitesse V d'origine, liée au seul déplacement du véhicule, et de V2 qui est la brève accélération au moment du changement de géométrie .
Sauf que ... et c'est ces deux choses qui me chagrinent, je suis décidément pas très futé :
> Je ne comprends pas, primo, pourquoi la diminution du déport et de l'empattement ne compenserait pas exactement l'accélération parasite . Puisque de facto, la roue avant parcourt bel et bien durant ce temps une distance inférieure à la roue arrière , et donc que V , la vitesse de rotation du pneu à sa périphérie , diminue .
> Et même en admettant que l'un et l'autre ne s'annulent pas exactement, puisque les roues sont forcées de tourner parce que entrainées par le sol qui défile sous elles , pourquoi cette IUWA n'est elle pas virtuelle, pourquoi engendre t'elle une perte d'efficacité ?
Ce qui nous ramène à mon précédent post, je crois lire que l'IUWA n'agit que comme une contrainte sur le pneu , un phénomène accélérateur d'usure ?
Un vilain schéma gribouillé sur un coin de table est parfois plus efficace qu'un discours, alors voilà comment je crois comprendre la chose :
Lorsque une fourche plonge, on sait que par raccourcissement de sa longueur l qui devient l' , on a une diminution du déport x qui devient x' , et par conséquent aussi un raccourcissement de l'empattement .
SI l'on se place au point de rotation haut qu'est la tête de fourche ( et seulement si l'on voit les choses depuis là , à la manière dont on verrait un système composé d'une planète et de son satellite tous deux en rotation sur eux-mêmes , le centre de rotation choisi étant la planète . Si je me place au niveau de l'axe de roue exclusivement, là je ne comprends strictement plus rien !!! ) , on a effectivement durant une fraction de seconde une vitesse totale VI , qui est la somme de la vitesse V d'origine, liée au seul déplacement du véhicule, et de V2 qui est la brève accélération au moment du changement de géométrie .
Sauf que ... et c'est ces deux choses qui me chagrinent, je suis décidément pas très futé :
> Je ne comprends pas, primo, pourquoi la diminution du déport et de l'empattement ne compenserait pas exactement l'accélération parasite . Puisque de facto, la roue avant parcourt bel et bien durant ce temps une distance inférieure à la roue arrière , et donc que V , la vitesse de rotation du pneu à sa périphérie , diminue .
> Et même en admettant que l'un et l'autre ne s'annulent pas exactement, puisque les roues sont forcées de tourner parce que entrainées par le sol qui défile sous elles , pourquoi cette IUWA n'est elle pas virtuelle, pourquoi engendre t'elle une perte d'efficacité ?
Ce qui nous ramène à mon précédent post, je crois lire que l'IUWA n'agit que comme une contrainte sur le pneu , un phénomène accélérateur d'usure ?
Vas Vite ou Flânes. Mais Roule !