J'ai bien dit "les infrastructures" et j'aurais dû rajouter "routières" , Shef.
Donc certes non, les ralentisseurs à eux seuls ne font pas 47% de tous les accidents même s'ils participent très activement, je te rassure .
Il y a aussi :
les nids de poule,
toutes les routes dégradées faute d'entretien depuis que l’État s'est désengagé de cette tâche au "profit" des collectivités territoriales qui n'en ont pas les moyens,
les séparateurs de voie invisibles de nuit jusqu'au moment ou tu montes dessus,
les bitumes au rabais ne respectant les normes d'abrasion,
les raccords sur chaussée vite faits en bitume liquide ( les trop célèbres pontages),
les signalisations au sol faites par économie au moyen de peinture pas aux normes et ultra-glissantes,
les équipements urbains sur la voirie en mode chicane,
les équipements en mobilier qui se transforment en pals ou en hachoirs parce que inadaptés et placés dans les zones de dégagement,
les signalements insuffisants ou absents de zones en travaux ou de danger inhabituel type déversement de gasoil sur la route faute de moyens humains et matériels,
etc...
Mais oui, et le chiffre est officiel, un accident sur deux en France est directement non pas induit ou aggravé par l'infrastructure, mais bien CRÉÉ par lui. et c'est consternant .
Première raison, les éconocroques réalisées par les pouvoirs publics sur la réalisation/l'entretien/la gestion des problèmes sur nos réseaux routiers et leur désengagement des investissements sur les grandes infrastructures.
Si l'on veut s'en convaincre, il suffit de faire un trajet Milan/Antibes ou col St-Bernard/Antibes comme nous le fîmes Biquette et moi ces dernières semaines. Le constat est cruel....
En Italie, pays soit-disant pas si riche et fortement endetté, des bitumes parfaits, de belles routes même dans les zones les plus montagneuses, une vraie sécurisation des abords de voies rapides, des zones de dégagement partout, des zones d’accueil omniprésentes .
En France, du noir, des nids d'autruche (car bien trop grands pour accueillir même un ponderie entière de poules pondeuses), des voies sans dégagement, des raccords minables , glissants et et sautillants pour tenter de prolonger un asphalte à l'agonie, du mobilier urbain agressif en cas de perte de contrôle partout.
Donc certes non, les ralentisseurs à eux seuls ne font pas 47% de tous les accidents même s'ils participent très activement, je te rassure .
Il y a aussi :
les nids de poule,
toutes les routes dégradées faute d'entretien depuis que l’État s'est désengagé de cette tâche au "profit" des collectivités territoriales qui n'en ont pas les moyens,
les séparateurs de voie invisibles de nuit jusqu'au moment ou tu montes dessus,
les bitumes au rabais ne respectant les normes d'abrasion,
les raccords sur chaussée vite faits en bitume liquide ( les trop célèbres pontages),
les signalisations au sol faites par économie au moyen de peinture pas aux normes et ultra-glissantes,
les équipements urbains sur la voirie en mode chicane,
les équipements en mobilier qui se transforment en pals ou en hachoirs parce que inadaptés et placés dans les zones de dégagement,
les signalements insuffisants ou absents de zones en travaux ou de danger inhabituel type déversement de gasoil sur la route faute de moyens humains et matériels,
etc...
Mais oui, et le chiffre est officiel, un accident sur deux en France est directement non pas induit ou aggravé par l'infrastructure, mais bien CRÉÉ par lui. et c'est consternant .
Première raison, les éconocroques réalisées par les pouvoirs publics sur la réalisation/l'entretien/la gestion des problèmes sur nos réseaux routiers et leur désengagement des investissements sur les grandes infrastructures.
Si l'on veut s'en convaincre, il suffit de faire un trajet Milan/Antibes ou col St-Bernard/Antibes comme nous le fîmes Biquette et moi ces dernières semaines. Le constat est cruel....
En Italie, pays soit-disant pas si riche et fortement endetté, des bitumes parfaits, de belles routes même dans les zones les plus montagneuses, une vraie sécurisation des abords de voies rapides, des zones de dégagement partout, des zones d’accueil omniprésentes .
En France, du noir, des nids d'autruche (car bien trop grands pour accueillir même un ponderie entière de poules pondeuses), des voies sans dégagement, des raccords minables , glissants et et sautillants pour tenter de prolonger un asphalte à l'agonie, du mobilier urbain agressif en cas de perte de contrôle partout.
Vas Vite ou Flânes. Mais Roule !