07-10-2013, 00:10
Bon au début j'ai franchement cru que c'était une blague... "(ne serait-ce que parce qu’ils sont inopérants à vitesse nulle)" pour moi c'est un humour pince sans rire très réussi.
Mais en cherchant cette phrase je suis tombé sur ça. Et l'exposé est très sérieux, mais c'est surtout une tautologie : c'est écrit noir sur blanc qu'ils considèrent le taux d'accidents en fonction de la vitesse parce qu'on peut agir sur cette dernière.
Par ailleurs on constate que cette fonction est croissante (l'article va même jusqu'à dire qu'elle est en x^4 mais dit aussi qu'on s'en fout au final...).
Par conséquent faire baisser la vitesse va faire baisser le nombre d'accidents. Point. L'article ne va pas plus loin. Sauf dans la conclusion où l'auteur lâche le mot "causal" qui sort de nulle part, que ça en devient de la malhonnêteté intellectuelle.
Les justifications sur la validité de la modélisation valent aussi leur pesant de cacahuètes. Si c'est là dessus que les décisions de sécurité routière sont prises on marche sur la tête.
Mais en cherchant cette phrase je suis tombé sur ça. Et l'exposé est très sérieux, mais c'est surtout une tautologie : c'est écrit noir sur blanc qu'ils considèrent le taux d'accidents en fonction de la vitesse parce qu'on peut agir sur cette dernière.
Par ailleurs on constate que cette fonction est croissante (l'article va même jusqu'à dire qu'elle est en x^4 mais dit aussi qu'on s'en fout au final...).
Par conséquent faire baisser la vitesse va faire baisser le nombre d'accidents. Point. L'article ne va pas plus loin. Sauf dans la conclusion où l'auteur lâche le mot "causal" qui sort de nulle part, que ça en devient de la malhonnêteté intellectuelle.
Les justifications sur la validité de la modélisation valent aussi leur pesant de cacahuètes. Si c'est là dessus que les décisions de sécurité routière sont prises on marche sur la tête.
Poireau pilote