En fait non ! Aucun mode d'emploi sur le guidonnage, autre que ceux déjà donnés sur ce forum .
Mais en vues rapprochées des roues, on pige mieux à quoi ça ressemble ... et combien ça fait se contracter du slip ! :p
Ps, pour mémoire si je guidonnes :
> Je freines paaaaass !!!!! Le transfert de masse vers l'avant va augmenter l'effet de balancier et le rendre irréversiblement incontrôlable .
> Je serres à l'entrejambe aussi fort que mes adducteurs me le permettent, à ce moment rien ne serait pire que de ne pas faire corps avec ma machine - à part freiner, bien entendu....
> Surtout, je ne m'accroche pas à mon guidon . Survivre à un guidonnage est très différent de péter un score à un rodéo . Après les freins interdits, le second risque majeur d'aggraver le phénomène, c'est de tirer sur le guidon en espérant maitriser l'oscillation. Au contraire, elle va augmenter et en fréquence et en amplitude si je m’agrippe !
Seule solution, pousser gentiment et sans le serrer sur mon guidon, comme par grand vent, ceci ayant pour effet de ralentir et calmer l'oscillation.
> je ralentis donc enfin , mais vraiment très progressivement et seulement une fois le phénomène calmé, même couper brusquement les gaz va suffire à me mettre au tas si j'étais en pleine accél, et en général c'était le cas .
> Une fois mon guidonnage maitrisé avec classe et décontraction, je m'arrête, je pisse un bon coup contre le premier arbre venu (les demoiselles, lisez "je pisse un bon coup dans le fourré le plus proche " ) si, si, il faut !
.
Et j'attends que ma fréquence cardiaque soit descendue sous la barre des 150 avant de repartir .
Vous l'aurez remarqué, la petite vidéo ci dessus est finalement un excellent exemple des conseils ici prodigués ; le gars ne ralentit quasiment pas durant la phase de guidonnage, sinon il était bon pour un magnifique jump over the fence.....
Allez, bonne route !
Mais en vues rapprochées des roues, on pige mieux à quoi ça ressemble ... et combien ça fait se contracter du slip ! :p
Ps, pour mémoire si je guidonnes :
> Je freines paaaaass !!!!! Le transfert de masse vers l'avant va augmenter l'effet de balancier et le rendre irréversiblement incontrôlable .
> Je serres à l'entrejambe aussi fort que mes adducteurs me le permettent, à ce moment rien ne serait pire que de ne pas faire corps avec ma machine - à part freiner, bien entendu....
> Surtout, je ne m'accroche pas à mon guidon . Survivre à un guidonnage est très différent de péter un score à un rodéo . Après les freins interdits, le second risque majeur d'aggraver le phénomène, c'est de tirer sur le guidon en espérant maitriser l'oscillation. Au contraire, elle va augmenter et en fréquence et en amplitude si je m’agrippe !
Seule solution, pousser gentiment et sans le serrer sur mon guidon, comme par grand vent, ceci ayant pour effet de ralentir et calmer l'oscillation.
> je ralentis donc enfin , mais vraiment très progressivement et seulement une fois le phénomène calmé, même couper brusquement les gaz va suffire à me mettre au tas si j'étais en pleine accél, et en général c'était le cas .
> Une fois mon guidonnage maitrisé avec classe et décontraction, je m'arrête, je pisse un bon coup contre le premier arbre venu (les demoiselles, lisez "je pisse un bon coup dans le fourré le plus proche " ) si, si, il faut !
.Et j'attends que ma fréquence cardiaque soit descendue sous la barre des 150 avant de repartir .
Vous l'aurez remarqué, la petite vidéo ci dessus est finalement un excellent exemple des conseils ici prodigués ; le gars ne ralentit quasiment pas durant la phase de guidonnage, sinon il était bon pour un magnifique jump over the fence.....
Allez, bonne route !
Vas Vite ou Flânes. Mais Roule !