Quelques données récentes sur les vols de 2Roues en France, les copains : (source = Motomag' )
La moto et le scooter, c’est pratique et ludique. Mais en ville, ça se fait beaucoup voler. Durant les 12 derniers mois, le nombre d’engins à deux-roues dérobés (69 655) représentait plus de 50 % des vols d’automobiles, pour un rapport de parc de 1 à 10, d’après les statistiques de l’Observatoire national de la délinquance (ONDRP), qui dépend du ministère de l’Intérieur.
Urbain
Ce type de larcin est essentiellement urbain : 23 % des sinistres ont eu lieu en région Ile-de-France, et 19 % en Provence-Alpes-Côte-d’Azur (Paca). Le département des Bouches-du-Rhône est le plus sinistré, avec 4,4 vols de deux-roues pour 1000 habitants (2,6 vols/1000 hab. à Paris). Ne négligeons pas les accessoires, qui sont aussi prisés des délinquants, 121 080 ayant été déclarés volés durant cette année 2010-2011. Chaque jour, 504 plaintes sont déposées dans un commissariat français, liées à un vol de deux-roues ou d’accessoire.
Peu de bike-jacking
Le mode opératoire est l’enlèvement, à 95 % (le deux-roues est emporté dans un véhicule). Le bike-jacking ne représente que 5 % des vols de deux-roues. Et 70 % des réseaux démantelés avaient un rapport avec un trafic de pièces détachées, plus que de véhicules entiers.
Assurance élevée en ville
Cette sinistralité ne va pas sans un impact sur la situation économique des assurés : selon une étude de l’entreprise ICA Security, le propriétaire trentenaire d’un Yamaha Tmax 500 (deux-roues le plus volé), affichant un bonus de 50 %, règlera, chez un assureur spécialisé, un contrat annuel RC+vol+incendie 692 euros TTC/an à Paris, contre 351 euros TTC/an à La Rochelle (Charente).
La moto et le scooter, c’est pratique et ludique. Mais en ville, ça se fait beaucoup voler. Durant les 12 derniers mois, le nombre d’engins à deux-roues dérobés (69 655) représentait plus de 50 % des vols d’automobiles, pour un rapport de parc de 1 à 10, d’après les statistiques de l’Observatoire national de la délinquance (ONDRP), qui dépend du ministère de l’Intérieur.
Urbain
Ce type de larcin est essentiellement urbain : 23 % des sinistres ont eu lieu en région Ile-de-France, et 19 % en Provence-Alpes-Côte-d’Azur (Paca). Le département des Bouches-du-Rhône est le plus sinistré, avec 4,4 vols de deux-roues pour 1000 habitants (2,6 vols/1000 hab. à Paris). Ne négligeons pas les accessoires, qui sont aussi prisés des délinquants, 121 080 ayant été déclarés volés durant cette année 2010-2011. Chaque jour, 504 plaintes sont déposées dans un commissariat français, liées à un vol de deux-roues ou d’accessoire.
Peu de bike-jacking
Le mode opératoire est l’enlèvement, à 95 % (le deux-roues est emporté dans un véhicule). Le bike-jacking ne représente que 5 % des vols de deux-roues. Et 70 % des réseaux démantelés avaient un rapport avec un trafic de pièces détachées, plus que de véhicules entiers.
Assurance élevée en ville
Cette sinistralité ne va pas sans un impact sur la situation économique des assurés : selon une étude de l’entreprise ICA Security, le propriétaire trentenaire d’un Yamaha Tmax 500 (deux-roues le plus volé), affichant un bonus de 50 %, règlera, chez un assureur spécialisé, un contrat annuel RC+vol+incendie 692 euros TTC/an à Paris, contre 351 euros TTC/an à La Rochelle (Charente).
Vas Vite ou Flânes. Mais Roule !