knacki m'a prêté sa Duke pour quelques jours cette semaine. Au menu pas de grosse balade mais des trajets quotidiens (un peu rallongés ).
J'avais déjà essayé la Duke sur quelques trajets courts, le temps de me rendre compte qu'elle était vachement haute, qu'on se prenait le vent en pleine poire, et que le mono c'est exigeant. Donc mes premières impression étaient mitigées, surtout passant de la case SV-S à la case Duke, donc d'un engin de 200 kg à guidons bracelets, à une bête de 150 kg à bras télescopiques ou presque .
Donc étant livré à moi-même et ayant l'interdiction formelle de chuter j'y suis allé mollo, surtout dans les virages et aux intersections. Mais on se prend vite au jeu
Après trois trajets d'une grosse dizaine de kilomètres (ville, voie rapide, quelques virages) je n'ai toujours pas trouvé comment manier ce moulin, qui exige d'être sur le bon rapport tout le temps, et je me méfie du freinage puissant alors que le frein moteur est beaucoup moins fort que sur la SV. Bref, il y a un temps d'adaptation.
Par contre, la Duke se montre extrêmement vive et sûre quant à sa direction. Le guidon obéit au doigt et à l'oeil, et la moto a une inertie quasi nulle, ce qui laisse présager une grande vivacité en virage (contrairement à la SV qui donne parfois l'impression d'être sur une trajectoire immuable). Dans la descente de Plascassier à Mouans Sartoux je ne me suis jamais senti surpris par les virages et avec une meilleure maitrise du moteur j'aurais pu les enchainer beaucoup plus vite. Par contre qu'on ne me demande pas (encore) de faire un freinage d'urgence, c'est un coup à partir en tête à queue
Au final l'inconvénient majeur que je lui vois c'est sa taille, c'est pas pratique les démarrages en côte sur la pointe des pieds
J'avais déjà essayé la Duke sur quelques trajets courts, le temps de me rendre compte qu'elle était vachement haute, qu'on se prenait le vent en pleine poire, et que le mono c'est exigeant. Donc mes premières impression étaient mitigées, surtout passant de la case SV-S à la case Duke, donc d'un engin de 200 kg à guidons bracelets, à une bête de 150 kg à bras télescopiques ou presque .
Donc étant livré à moi-même et ayant l'interdiction formelle de chuter j'y suis allé mollo, surtout dans les virages et aux intersections. Mais on se prend vite au jeu
Après trois trajets d'une grosse dizaine de kilomètres (ville, voie rapide, quelques virages) je n'ai toujours pas trouvé comment manier ce moulin, qui exige d'être sur le bon rapport tout le temps, et je me méfie du freinage puissant alors que le frein moteur est beaucoup moins fort que sur la SV. Bref, il y a un temps d'adaptation.
Par contre, la Duke se montre extrêmement vive et sûre quant à sa direction. Le guidon obéit au doigt et à l'oeil, et la moto a une inertie quasi nulle, ce qui laisse présager une grande vivacité en virage (contrairement à la SV qui donne parfois l'impression d'être sur une trajectoire immuable). Dans la descente de Plascassier à Mouans Sartoux je ne me suis jamais senti surpris par les virages et avec une meilleure maitrise du moteur j'aurais pu les enchainer beaucoup plus vite. Par contre qu'on ne me demande pas (encore) de faire un freinage d'urgence, c'est un coup à partir en tête à queue
Au final l'inconvénient majeur que je lui vois c'est sa taille, c'est pas pratique les démarrages en côte sur la pointe des pieds
Poireau pilote