Chalutous.
Bien d'accord avec Shef pour être interloqué sur le déroulement de ce second confinement et sur la variable de sentiment de risque ou pas propre à chacun.
Pour la lettre et l'esprit, il est vrai que nombre de données ont changé récemment
On ignorait +/- largement le potentiel de ce nouveau virus aérien à se transmettre en lieux ouverts en mars. On sait maintenant beaucoup plus, et oui. Sa capacité à infecter à l'extérieur par voie aérienne est finalement semblable à celle de la plupart de ses congénères et donc extrêmement faible, sauf à parler d'un centre-ville vraiment bondé et sans vent, et de longs moments passés dans la promiscuité.
On se contamine donc par voie aérienne essentiellement à l'intérieur, l'hôpital est un magnifique exemple ou presque toutes les contaminations de soignants se fait soit à la maison avec famille ou amis, soit entre collègues à la tisanerie ou au réfectoire (nous le télétravail , ben c'est non
) Et on arrive à un délire comme aujourd’hui au service de pneumologie ou seuls quelques patients sont Covid puisqu'on ouvre sans arrêt de nouvelles unités dédiées au détriment de toutes les autres prises en charge hospitalières, mais... ou presque la moitié du personnel a été contaminée ces derniers jours, y compris ceux qui étaient en repos.
On continue par contre à sous estimer gravement le potentiel de transmission manuportée dans le public. C'est possiblement disent bien des spécialistes le moyen contamination le plus fréquent, et il est sournois. Et là dehors ou dedans c'est pareil, chaque porte que l'on ouvre, chaque rambarde qu'on touche, chaque objet utilisé est un vecteur à haut potentiel de risque. Tout le monde se touche le visage environ 1 fois/minute sauf chez ceux qui ont la gratte ou sont trichotillomanes chez qui c'est encore plus fréquent, et c'est quasi automatique et c'est irrépressible dans la durée. Bien trop peu de gens faute de réaliser vraiment cela se lavent bien les mains, trop rarement en sus.
Malheureusement, je crois que dans le public ce ne sont pas ceux qui ont finement compris les modes de transmission et le situations à risque qui prennent le plus de libertés avec les restrictions. Ils ont d'autres motivations, du genre:
Je suis gilet jaune et ceci est un complot mondial, comme le sera demain le vaccin lorsqu'il arrivera. Moi je suis antisystème et on me la fait pas.
J'en ai marre épicétou, le masque me gonfle et pis je suis pas personne à risque. Les autres? Mais quels autres?
Y'a rien que les vieux qui meurent, et vaut mieux 3/400 000 morts de vieux comme on devrait de toutes façons y arriver au final que mettre à bas l'économie de marché et d'emmerder les gens en prime.
Je connais 6 personnes qui l'ont chopée, ben y'en a 2 qui ont été à peine malades et 4 qui sont asymptomatiques, c'est que dalle et on en fait 10 fois trop là-dessus.
Etc...
Et on peut toujours parler des formes longues qui sont assez flippantes, des 20% de pas vieux qui font une forme sévère et qui sont pas près de reprendre une vie normale, c'est comme quand on dit que le système de santé est au bord du gouffre, ça rameute pas les foules.
Bien d'accord avec Shef pour être interloqué sur le déroulement de ce second confinement et sur la variable de sentiment de risque ou pas propre à chacun.
Pour la lettre et l'esprit, il est vrai que nombre de données ont changé récemment
On ignorait +/- largement le potentiel de ce nouveau virus aérien à se transmettre en lieux ouverts en mars. On sait maintenant beaucoup plus, et oui. Sa capacité à infecter à l'extérieur par voie aérienne est finalement semblable à celle de la plupart de ses congénères et donc extrêmement faible, sauf à parler d'un centre-ville vraiment bondé et sans vent, et de longs moments passés dans la promiscuité.
On se contamine donc par voie aérienne essentiellement à l'intérieur, l'hôpital est un magnifique exemple ou presque toutes les contaminations de soignants se fait soit à la maison avec famille ou amis, soit entre collègues à la tisanerie ou au réfectoire (nous le télétravail , ben c'est non

On continue par contre à sous estimer gravement le potentiel de transmission manuportée dans le public. C'est possiblement disent bien des spécialistes le moyen contamination le plus fréquent, et il est sournois. Et là dehors ou dedans c'est pareil, chaque porte que l'on ouvre, chaque rambarde qu'on touche, chaque objet utilisé est un vecteur à haut potentiel de risque. Tout le monde se touche le visage environ 1 fois/minute sauf chez ceux qui ont la gratte ou sont trichotillomanes chez qui c'est encore plus fréquent, et c'est quasi automatique et c'est irrépressible dans la durée. Bien trop peu de gens faute de réaliser vraiment cela se lavent bien les mains, trop rarement en sus.
Malheureusement, je crois que dans le public ce ne sont pas ceux qui ont finement compris les modes de transmission et le situations à risque qui prennent le plus de libertés avec les restrictions. Ils ont d'autres motivations, du genre:
Je suis gilet jaune et ceci est un complot mondial, comme le sera demain le vaccin lorsqu'il arrivera. Moi je suis antisystème et on me la fait pas.
J'en ai marre épicétou, le masque me gonfle et pis je suis pas personne à risque. Les autres? Mais quels autres?
Y'a rien que les vieux qui meurent, et vaut mieux 3/400 000 morts de vieux comme on devrait de toutes façons y arriver au final que mettre à bas l'économie de marché et d'emmerder les gens en prime.
Je connais 6 personnes qui l'ont chopée, ben y'en a 2 qui ont été à peine malades et 4 qui sont asymptomatiques, c'est que dalle et on en fait 10 fois trop là-dessus.
Etc...
Et on peut toujours parler des formes longues qui sont assez flippantes, des 20% de pas vieux qui font une forme sévère et qui sont pas près de reprendre une vie normale, c'est comme quand on dit que le système de santé est au bord du gouffre, ça rameute pas les foules.
Vas Vite ou Flânes. Mais Roule !